Agents de sécurité privés et cas de radicalisation
Pour exercer ces professions d’Agent de sécurité – Gardiennage, Agent cynophile, salariés et dirigeants faisant du terrain sont soumis à l’obtention préalable d’agréments, d’autorisations d’exercer, délivrés après enquête de police et du Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS).
Ils sont renouvelés tous les cinq ans pour les agents. Ces agréments sont «avantageux» pour réduire les risques, expliquait à l’AFP, après les attentats de novembre 2015 Michel M, patron d’une entreprise leader du marché en France. Il faisait alors état de «plusieurs cas d’infiltration dans des sociétés de sécurité» dont certains dans sa propre entreprise.
Des « dirigeants » agrémentés sont parfois juste des « prête nom », laissant gérer les affaires de l’entreprise à des personnes interdites d’exercer suite à des problèmes de justice, fiscaux (URSSAF – Impôts etc…), ou en lien avec la radicalisation (Fiché S).
La demande du Volet numéro 3 du casier judiciaire, faite par l’Agent de sécurité à la demande de l’entreprise, peut signaler un problème, et de ce fait, la consultation du fichier DRACAR sur internet permet, en 2 minutes, au responsable du personnel, de vérifier la validité et conformité de la carte professionnelle de l’Agent de sécurité ou du Maître chien de l’autorisation d’exercer d’un dirigeant.
Chez K9SP, nous demandons systématiquement le Volet 3 du casier pour démarrer une collaboration au sein de notre personnel, et celui ci est actualisé tout les 6 mois, afin de vérifier si entre temps la validité de la carte « Pro » est toujours valable au vue de la loi. Car s’il y a un souci lors du renouvellement de carte Professionnelle auprès du CNAPS, celui ci ne délivrera pas de nouvelle carte.
Malheureusement, très peu d’entreprise font ces vérifications.
Alors pour éviter les soucis, et travailler avec une entreprise sérieuse et investie, faites appel à K9SP.